Peut être des origines grecques ?

En ce moment, je recherche des pistes concernant le père de ma grand mère.

Il était d'origine grecque et a rencontré Marie Louise, la mère de ma grand mère, sur son lieu de travail. Il semble qu'ils étaient collègues.

Ce sont de très minces informations sans aucune certitude.

Grâce à deux bénévoles, Céline et Jean Paul, j'ai réussi à obtenir des petites informations.

Marie Louise était fille de salle très certainement dans un hôtel. Elle vivait au 14 rue Jules Verne dans le 11e arrondissement de Paris en 1929. A cette époque, cet immeuble appartenait à la famille BASTIT. Cette dernière était également propriétaire de l'hôtel "Vins et Hôtel de France" situé au 27 rue Tiquetonne dans le 2eme arrondissement de Paris. Je peux supposer que Marie Louise travaillait dans cet hôtel. Le métro existait déjà.

J'ai obtenu par l'intermédiaire d'une bénévole la liste qui recense les gens de passage de l'hôtel. Il s'agit des employés vivant sur place (femme de ménage, plongeur...):

Rue Tiquetonne en 1931: Monteil, Dutard, Smit, Lavenir, Lhomme, Thierry, Fontaine, Tronquet, Charvel, Toun, Didonna, Leblay, Monsset, Le Bourhis, Lallement, Privat, Vasilin, Moulin, Le Gallez, Pichon

Le patronyme VASILIN sonne grec. Cependant, selon le recensement, Georges VASILIN, est né en Roumanie en 1883 et était célibataire. Le père que je recherche était marié. Donc, ce n'est la bonne piste.

Il y avait également de nombreux hôtes de passage dans le 2e arrondissement dans le secteur "Bonne Nouvelle" (celui de la rue Saint Sauveur et de la rue Tiquetonne).

Marie Louise vivait en 1931 au 62 rue Saint Sauveur dans le 2e arrondissement de Paris.

Nous avons comme noms grecs:

Basile NEOPHYTON né en Grèce en 1898 et marié

Abrandis CALLIOROUSSI né en Grèce en 1892 et célibataire

Jean THAMADOS né en Grèce en 1890 et marié

Plato GUINO né en Grèce en 1879 et marié

Julien EMMANUEL né en Grèce en 1898 et célibataire (un français né en Grèce ou un Grec de père français).

Il y a également au 56 rue Saint Sauveur en 1931, Jean ARETAKIS, né en Grèce en 1887, tailleur, marié à Marie.

Au 95 rue Saint Sauveur, Barouh BENRUBI en 1931, né en Grèce en 1906, commerçant, marié à Doudoun.

Ce sont les seules pistes que je possède. Je vous tiendrais au courant des résultats de mes recherches.

Article dans "Le Courrier Picard" du 4 Janvier 1954

Dans le dossier de carrière de Michel Calvez, l'oncle de ma grand mère, j'ai lu qu'il était forgeron à la SNCF.

Sur les dernières pages du dossier, j'ai appris également qu'un article paru dans le journal local "Le Courrier Picard" le 4 Janvier 1954 parle d'un fait divers concernant Michel.

Donc, j'ai demandé à mon beau père qui réside sur Amiens d'aller rechercher la trace de cet article dans les archives. Il l'a retrouvé et me l'a retranscrit.

Le voici:

"Tombé d'un train le matin, un voyageur reste toute la journée sans secours dans le marais de Glissy

Hier matin à 9h00, M. Michel Calvez, 54 ans, Forgeron à la SNCF, domicilié au 191 rue Eloi Morel à Amiens, prenait le train en gare du Nord dans cette ville pour se rendre à Villers Bretonneux.

Alors que le convoi traversait le marais de Glissy, le voyageur voulu se rendre au WC mais se trompant, il ouvrit une porte donnant sur l'extérieur, tomba sur le ballast et dégringola quelques mètres plus bas dans les roseaux assez haut à cet endroit. Blessé grièvement le malheureux resta ainsi de longues heures sans soins.

C'est seulement en fin d'après midi que des enfants qui venaient jouer en cet endroit, ordinairement désert, le découvrirent. Ils avertissent le Maire de Glissy qui immédiatement organisa des secours et fit transporter le blessé au Nouvel Hôpital d'Amiens.

Atteint d'une fracture ouverte du bras droit et fortement contusionné, M. Calvez, fait l'objet des soins les plus attentifs."

Michel, avant cet accident, était assez fatigué. Son état de santé était déficient. Il n'avait pas voulu aller voir le médecin.

Il a ressenti le besoin de se changer les idées et il a pris le train vers 6h00 à Amiens pour se rendre à Villers Bretonneux afin de voir sa famille. Selon la déclaration du docteur de l'hôpital d'Amiens, Michel a été victime d'un malaise.

C'est étrange de lire des brides de la vie d'une personne qui fait partie de ma famille mais que malheureusement je n'ai jamais connu.

Il était breton, assez autoritaire et extrêmement renfermé. Il était une personne très attachée à la famille. J'aurais bien voulu le connaître.

Il est décédé à l'âge de 84 ans le 21 Octobre 1984 à Saloüel. Tout ce que je sais, c'est que le décès n'est pas intervenu à la suite d'un accident.

Michel Calvez et Marie Anne Chalony

Ce sont les personnes qui ont beaucoup compté pour ma grand mère: Marie Anne, sa grand mère et Michel, son oncle et tuteur.

Marie Anne Renée Chalony est née le 26 Janvier 1875 à Saint Evarzec dans le Finistère, fille de Chalony yves et Marie Anne Caradec. Elle s'est mariée avec Michel Calvez le 10 Mai 1896 dans la même commune. A cette époque, lui était menuisier et elle, cultivatrice. Ils ont eu à ma connaissance 7 enfants: Michel (1900), Yves (1902), Marie Louise (1904), Alain (1906), Pierre (1909), Guillaume (1912) et Jean Louis Yvon (1914). Leur maison était située entre la boucherie et la boulangerie.

Michel, le mari de Marie Anne et grand père de ma grand mère décède tragiquement le 14 août 1914, quelques mois avant la naissance de Jean Louis Yvon. Selon ma grand mère, il a été tué par un taureau.

Le 07 Mars 1929 est née ma grand mère, Micheline, dans le 10eme arrondissement de Paris, fille de Marie Louise Calvez et de père inconnu. Cette dernière n'a pas élevé sa fille pour des raisons qui me sont inconnues. Ma grand mère a été elevée par sa grand mère, Marie Anne, dans le Finistère à Saint Evarzec, dès sa naissance jusqu'à ses 10 ans.

Le 03 Novembre 1939, Marie Anne décède à son domicile à l'âge de 64 ans. Ma grand mère n'a pas de photo de Marie Anne. C'est un de ses grands regrets. Elle était en quelque sorte sa mère de substitution.

A la suite du décès de Marie Anne, un conseil de famille a lieu pour désigner un tuteur pour ma grand mère. C'est son oncle, Michel, l'aîné de la famille, qui devient son tuteur.

Michel est né le 14 Janvier 1900 à Saint Evarzec. Il se marie le 04/06/1923 dans la même commune avec Joséphine Peton. Ils partent s'installer ensuite à Amiens dans la Somme. Ils ont une fille, Micheline, le 25 Octobre 1926.

En 1939/1940, ils accueillent dans leur famille, ma grand mère, qui restera dans le foyer jusqu'en 1948, année de son mariage.

Tout récemment, j'ai ressorti les photos de famille en présence de ma grand mère. Cela lui a fait un grand bien de se remémorer ses souvenirs d'enfance. Malheureusement, elle n'a aucune photo de sa grand mère ni de son oncle, Michel. Ce qui l'a peine beaucoup. Donc, j'espère par l'intermédiaire de sa cousine pouvoir lui redonner le sourire en lui retrouvant les photos de sa famille d'adoption.

Malheureusement, elle a refusé !

La tuberculose

Petit rappel historique:

Entre 1904 et 1928, le biologiste Albert Calmette et le vétérinaire Camille Guérin mettent au point un vaccin contre la tuberculose. Ils le font à partir d'un bacille bovin. C'est la naissance du vaccin Bacille Calmette-Guérin (BCG).

Le 18 Juillet 1921 a lieu la première vaccination, à la crêche de l'hôpital de la Charité, à Paris. La vaccination se développe ensuite, notamment dans les dispensaires.

Il existait une crêche à l'hôpital de la Charité. Donc, Renée a peut être eu cette maladie et peut être a t-elle été soigné dans cet hôpital.

Je viens d'envoyer un courrier au Service des Archives de l'Assistance Publique à Paris afin d'avoir une réponse. Verdict: réponse négative reçue le 19/06/2008. Renée ne figure pas dans les registres d'entrée de l'hôpital.

L'Hôpital de la Charité (1601-1935)

L'hôpital de la Charité (voir photo ci dessus) est le dernier lieu de vie de mon arrière grand mère, Marie Louise. Elle a succombé à une tuberculose le 03/09/1934. Elle avait eu ses 30 ans un mois avant.

Cet hôpital a été fondé en 1601 par les Frères Saint Jean-de-Dieu et doit son existence à Marie de Médicis, qui fait appel à cette communauté florentine pour soigner les indigents.

Installé initialement près du port de Malaquest, l'hôpital s'établit définitivement le 04/09/1608, sur l'ordre de la reine Margot, sur un terrain où s'élève l'hôtel de Sansac: il ouvre sous le nom de Saint-Jean-Baptiste de la Charité. Les frères, propriétaires et maîtres exclusifs des lieux jusqu'en 1789, assurent le service de l'hôpital. En effet, leur règlement leur impose d'être chirurgiens et pharmaciens et de soigner eux même les malades. En 1786, l'établissement compte 208 lits réservés exclusivement à une population masculine ne souffrant pas d'affections incurables ou vénériennes. Son ouverture aux femmes s'opère en 1791.

Deuxième hôpital de Paris après l'Hôtel-Dieu, la Charité se distingue comme un modèle sur les plans de l'hygiène, du confort, des soins thérapeutiques et s'illustre en fondant dans ses locaux la première clinique médicale de France.

Pendant la Révolution, l'hôpital de la Charité continue à fonctionner sous le nom d'hospice de l'Unité. Confisqué aux religieux, sa direction revient par l'arrêté du 11 avril 1791 à une commission de cinq membres. Néanmoins, les frères y assurent les soins jusqu'à leur départ en 1801. Agrandi en 1791 sous la conduite de l'architecte Antoine, puis en 1841-1845, l'établissement accroît ses capacités d'accueil: il gère 235 lits en 1810, 341 lits en 1830 et 486 lits en 1850.

Au moment de sa fermeture définitive le 06 avril 1935, il abrite encore 680 lits. Sa démolition presque intégrale débute les mois suivants et s'achève véritablement en 1937 avec les travaux d'édification de la nouvelle Ecole pratique de médecine de la Faculté de Paris.

Source: Service des archives de l'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris Responsable des fonds anciens et des recherches historiques 7, rue des Minimes 75003 PARIS

Marie Louise a été inhumée dans le cimetière de Thiais. Aujourd'hui, elle repose dans le jardin des souvenirs (voir photo ci dessus).

Bulletin individuel des dénombrements de 1926

Bonsoir,

Je souhaite vous soumettre une question. J'ai trouvé le formulaire (ci-dessus) pour les recensements ou dénombrements de 1926.

Avez-vous eu déjà connaissance de ce type de document dans vos recherches généalogiques ??

Les personnes recencées devaient certainement remplir ce bulletin. Les questions sont assez nombreuses sur la situation personnelle et professionnelle. Ce document est très intéressant pour les généalogistes. En ce qui me concerne, ce document répondrait à toutes mes questions sur Marie Louise Calvez.

Est ce que ce document a été détruit ou alors peut être a t-il été archivé quelque part ??

J'ai trouvé ce document sur l'adresse suivante: http://www.ined.fr/

Si vous pouvez m'éclairer sur cette question, cela m'aiderait énormément dans mes recherches.

Recensement de la famille CALVEZ en 1921 et 1926 à Saint Evarzec (29)

Bonsoir,

En ce moment suite à de bons conseils que l'on m'a donné, je recherche en quelle année la mère de ma GM a quitté Saint Evarzec pour s'installer sur Paris.

Grâce à une merveilleuse bénévole, j'ai obtenu les recensements de Saint Evarzec en 1921 et 1926 où vivait la famille CALVEZ dans le village de Cavardy (ci-joint photos).

En 1921, Marie Louise Calvez (17 ans) réside toujours avec sa mère Marie Anne. Son père, Michel Calvez n'y figure pas puisqu'il a été tué par un taureau en 1914.

En 1926, Elle n'est plus sur le recensement. En 1926, elle avait 22 ans donc elle était "majeure".

Il y a de fortes possibilités que Marie Louise vivait déjà à Paris en 1926.

Elle résidait en 1929 au 14 rue Jules Verne dans le 11e arrondissement de Paris mais en 1926 à cette adresse, elle n'y figure pas!

Si sa première fille, Renée, est bien née en 1922, il y a des chances que son lieu de naissance soit une commune dans le Finistère. J'ai écrit à la Mairie de Saint Evarzec. Donc en attente d'une réponse.

Malheureusement, j'ai obtenu une réponse négative.

Guillaume Marie Christophe Calvez (1912-1944)

Aujourd'hui, je vais vous parler d'un des oncles de ma grand mère, son préféré d'ailleurs.

Il s'appelait Guillaume Calvez et est né le 07/11/1912 à Saint Evarzec dans le Finistère. Il avait 5 frères et une soeur, Marie Louise, la maman de ma grand mère.

Je pense que dès qu'il en a eu la possibilité, il est parti vivre sur Paris. Il était garçon de café. Il a rencontré son épouse, Lucie Darneau, à Paris. Ils se sont mariés le 09/10/1934 à la Mairie du 12eme arrondissement de Paris. La Mairie m'a toujours refusé l'accès à leur acte de mariage même en prouvant ma filiation.

J'ai appris qu'ils avaient divorcé le 29/02/1940: une décision de Guillaume. J'ai obtenu la photocopie du jugement de divorce. C'est assez émouvant de pouvoir lire un peu de leur vie, de leur histoire. Sur l'acte n'est mentionné à aucun moment s'ils avaient des enfants.

Entre temps, il était parti à la guerre. Il est affecté à la 21eme Compagnie de passage et ensuite parti en renfort au 337eme RI le 27/10/1939. Il passe à la compagnie de Commandement le 27/04/1940.

Il a été capturé et envoyé en tant que prisonnier de guerre au Stalag IID, camp situé à 2 kms de la gare de Stargard, à 30 kms de Szczecin (ex Stettin en Poméranie). Il a disparu sans plus de précisions en juin 1944 en Allemagne, et ce, en dépit des nombreuses demandes et enquêtes diligentées de 1945 à 1949.

J'essaie de tenter de reconstituer son parcours durant la guerre et les circonstances de sa fin de vie afin de lui rendre hommage.

Malheureusement, ma grand mère n'a aucune photo de lui. Je sais juste par sa fiche de signalement qu'il avaient les cheveux châtains, les yeux noirs, le front moyen, le nez ordinaire et le visage long. Il était grand (1m76) et son degré d'instruction est de niveau 2. J'espère pouvoir un jour avec l'aide de ma grand mère le reconnaître sur une photo de régiment!

Il s'est battu pour son pays et malheureusement il a disparu quelque part en Allemagne comme des millions d'autres. Il a son nom sur le monument des morts de Saint Evarzec mais pas de déclaration de décès donc pas de sépulture. C'est assez frustrant!

J'ai obtenu par l'intermédiaire d'un bénévole la correspondance du Stalag IID. Ils ne mentionnent pas son nom malheureusement. Par contre, c'est très émouvant de lire toutes ces lettres de prisonniers ou de parents de prisonniers.

On a toutes et tous quelqu'un de sa famille qui s'est battu durant cette drôle de guerre et c'est très important selon moi de tenter de leur rendre hommage.

Si vous avez des commentaires à faire, allez-y!

Mystérieuse et énigmatique Renée (1922 ou 1928 ?)

J'ai toujours cru que ma GM était fille unique, elle aussi d'ailleurs et elle y croit toujours!

Il y a 3 ans en effectuant des recherches sur sa mère, Marie Louise, j'ai su que celle-ci résidait en 1931 au 62 rue Saint Sauveur dans le 2eme arrondissement de Paris.

J'ai recherché le recensement que vous aperçevez ci dessus. Et quelle suprise! Je lis qu'elle a eu une autre fille, Renée, née en 1922 ou en 1928.

Je me pose alors des tas de questions. Est-ce ma grand mère ? Oui, mais pourquoi Renée et pourquoi en 1922 ou 1928 (aucune certitude sur l'année de naissance) ??? Ma GM se nomme Micheline et est née en 1929 dans le 10eme arrondissement de Paris. Renée est peut-être un premier prénom ? Peut-être que le recenseur s'est trompé dans l'année ??? C'est toujours possible!

Donc, je décide de mener ma petite enquête. Sans rentrer dans les détails de ma découverte, j'en parle à ma GM. Elle me certifie qu'elle est fille unique et qu'elle n'a jamais vécu avec sa mère. Elle a été élevée dès sa naissance par sa GM. C'est une découverte qui m'a bouleversé ainsi que ma famille. D'ailleurs, aujourd'hui, c'est toujours le cas puisqu'à part ce recensement, je n'ai trouvé aucune trace de cette petite Renée qui vivait avec sa mère en 1931 (malgré toutes mes recherches).

Seule ma GM n'est pas au courant. J'attends d'avoir quelque chose de concret pour lui annoncer.

Ce qui rend également cette trouvaille encore davantage mystérieuse c'est que cette petite soeur était déclarée "absente" lors du passage du recenseur.

Peut-être qu'un jour, je retrouverais la trace de Renée! Il ne faut jamais désespèrer!

Marie Louise Calvez (1904-1934)

Ma grand mère, Micheline, ne parle de sa mère que très peu souvent. Il ne lui reste d'elle que quelques souvenirs et cette unique photo.

Donc, il a fallu que j'effectue des recherches afin de mieux connaître mon arrière grand mère, Marie Louise.

Elle est née à Saint Evarzec dans le Finistère le 08 Août 1904, fille de Marie Anne Chalony et Michel Calvez.

Dès qu'elle a pu, Marie Louise est partie vivre à Paris tout d'abord dans le 11e arrondissement puis le 2eme arrondissement.

Elle a rencontré le père de ma grand mère sur le lieu de son travail. J'ai appris qu'elle était fille de salle.

Ce père reste une énigme! Je n'ai aucune piste de recherche le concernant. Ma grand mère l'a vu une unique fois et ne connait pas son nom. Il serait d'origine grecque.

Marie Louise est décédée de la tuberculose le 03/09/1934 dans le 6eme arrondissement de Paris à l'hôpital de la Charité.

Donc, suite à mes recherches, j'ai trouvé le lieu où elle repose: le jardin des souvenirs dans le cimetière de Thiais. Ma grand mère ainsi que ma famille étaient très émues en l'apprenant.

Les parents de Micheline, ma grand mère, sont une véritable énigme depuis 3 ans. J'espère un jour en découvrir davantage sur eux.

Le jour où j'ai découvert la généalogie

Tout à fait par hasard, j'ai découvert la généalogie il y a maintenant trois ans. Depuis, elle est devenue la passion d'une vie.

Un jour, je discutais tranquillement avec ma grand mère maternelle de ses origines.

Donc, elle me raconte qu'elle a été elevée par sa grand mère dans le Finistère et que sa mère est décédée très jeune de la tuberculose. Puis, elle m'explique qu'elle ne s'est jamais recueillie auprès de sa mère ne sachant où elle a été inhumée.

Désirant lui faire plaisir, je me suis mise à la recherche du lieu de repos de mon arrière grand mère, Marie Louise Calvez. C'est ainsi que j'ai découvert la généalogie pour ne plus en sortir.

J'ai fais la connaissance de mes ancêtres par l'intérmédiaire de vieux papiers. Certains me semblent plus proches que d'autres par leurs vies énigmatiques.

Voilà! Je vais tenter de vous faire partager les recherches de mes racines. N'hésitez pas à laisser vos commentaires ou même quelques conseils.